‌Ils n’étaient pas loin… 🖤 ❤️

‌Ils n’étaient pas loin… 🖤 ❤️

Nous les cherchions, nous les avions un peu perdus nos toulonnais, ils avaient pris la mauvaise draille, mais en regardant les trois étoiles ils ont vite retrouvé la route qui à travers un épais nuage mène vers un grand soleil.

Je crois que chez les catalans ils ont fait une bonne action, un cadeau de quelques points qui seront bien utiles à un nouveau promu, ils ont un cœur gros comme le Faron nos minots, mais sans rigoler, nous n’avons pas encore tout compris.

Hou que nous étions bien assis dans le fauteuil devant la télé en couleurs rouges et noires, vé, l’apéro avait pris de l’avance, tant pis pour les convenances, on s’est régalé, ils étaient bien là les toulonnais !

Evidemment pas question de dépoussiérer déjà l’étagère pour poser le bout de bois, mais en filant un œil sur l’avenir, nous commençons à pantailler tout doucement, nous avons calculé, espéré, prévu, estimé, recalculé que vire tourne nous allons nous y installer dans le panier des six et pour la suite nous verrons bien, mais sûr et certain on chantera bientôt, ce que m’a dit une cigale tardive en se récampant d’un safari dans les rastoubles.

Dans l’immédiat balançons un coup de projecteur sur ce match de samedi qui va valoir son pesant de chichourles, c’est celui de la confirmation, c’est un nouveau ronronnement de notre rouleau compresseur, c’est une autre course folle des purs sang de la Rade, c’est celui qui va nous estramasser une fois de plus cette raison que nous égarons si souvent.

Minots, écrivez nous un nouveau couplet de la chanson de Besagne, une nouvelle page du roman des gens d’ici, celui que nous lisons sans connaître la fin et qui nous promène sur les chemins du rêve.

Allez zou, comme des enragés dans un Pilou-Pilou de quatre vingt minutes.

PS : Gabin reviens nous vite, le monde et la France t’attendent et nous n’en parlons pas…