Si nous en parlions…

Si nous en parlions…

Selon une logique bien de chez nous il était prévisible qu’une nouvelle victoire pouvait nous sourire, mais voilà, face à des hôtes plus que motivés le galion a sombré dans le Rhône et cela nous amène à en chercher les causes.

Il semble que pratiquement toutes les équipes qui reçoivent le RCT jouent leur match de la saison, flatteur pour nos couleurs mais difficile pour nos joueurs et cela se traduit souvent par un premier quart d’heure intense et acharné de nos adversaires.

Si nous considérons que nos mi-temps sont depuis un certain temps inégales tout devient compliqué et sous un sifflet intransigeant envers nos fautes …Tu as tout compris.

Mais nous avons bien de moyens pour contrer ces situations, ils paraissent évidents et notre staff les connaît mieux que nous, notamment dans la gestion et l’amélioration des touches qui dans les 22 mètres aboutissent fréquemment à un essai et avec notre paquet ce n’est pas incompréhensible.

En connaissant aussi la valeur de notre effectif qui, espérons-le, sera un jour au complet, en appréciant la condition physique de nos moussis lors des fins de rencontres, nous pouvons croire à une issue époustouflante qui ravira tout le monde.

Voilà, trois semaines en relâche, presque trois siècles, boudiou que c’est long, heureusement que nous en avons tellement à dire car nous ne sommes pas plus couillons que bien de bafouilleurs, ici ça vient du cœur, pas du porte-monnaie, le cœur d’une nation qui tentera de planter un oranger sur le sol irlandais.

Bon, on va se faire une bonne bugade, les maillots, les casquettes, les foulards, les chaussettes, les cervelles, ils en ont bien besoin.

Allez je m’arrête, il y a un collègue qui m’appelle, m’estounerai qu’il reste muet.

Bientôt, un Pilou-Pilou Fanfaronnique, à réveiller les cigales …

PS : Marius content pour toi, bravo minot.