Parlons en…

Parlons en…

Des rencontres espacées de quinze jours, de quoi perdre le rythme, de quoi se ramollir, de quoi piétiner dans les vestiaires, enfin cela n’est pas idéal.

Des matchs complètement inégaux, un déluge de points, des nations bien faibles, il y a sûrement d’autres solutions pour rehausser leur niveau car dans ce cas le rugby n’est pas gagnant, mais il fallait faire du chiffre à n’importe quel prix, même à celui de la santé des joueurs.

Une équipe de France dans sa splendeur mais avec des temps de jeu excessifs pour certains compétiteurs qui n’en avaient absolument pas besoin, une mi-temps suffisait, certainement la deuxième pour notre demi de mêlée, quelle erreur !

C’est l’affaire de l’année qui suscite les commentaires les plus sages ou les plus farfelus, notre super champion doit-il se faire casser la figure une deuxième fois ?

Après avoir éliminé un sac de suppositions, il semble raisonnable que notre ami Antoine écoute les voix de la sagesse et du monde médical avant de vouloir jouer les cibles mobiles pour un adversaire plus que rude.

Il est compréhensible, connaissant sa fougue et sa volonté, qu’il veuille participer au quart de finale.

Alors réfléchis bien Antoine, tu as tout le temps pour être encore le meilleur du monde.

Mais avec tout cela n’oublions pas notre RCT, il est formidable de retrouver au fil des rencontres un grand nombre d’anciens rouges et noirs, des prochains aussi, des actuels évidemment, ils ont aimé, ils aiment nos couleurs, ils promènent tant de souvenirs, je crois qu’ils n’oublieront jamais les clameurs de Mayol.

Allez, le Pilou-Pilou est monté s’aérer au Faron, qu’il ne se vexe pas car pour l’instant nous chantons tous la Marseillaise…