Merci !

Merci !

Merci pour ces quatre vingt quatre minutes, merci pour ce moment intense que vous avez fait vivre à tous vos supporters, un beau souvenir de plus, une page exceptionnelle écrite dans l’histoire du club.

Du jeu c’est très bien, de l’envie c’est énorme, mais cette fois vous avez craché les tripes sur le terrain et ça c’est monumental.

Ce dernier quart d’heure, un récital de rage, les tranchées de 14, du Vauban, toute l’artillerie de la Sorbe, minots, Mayol en aurait fait une sacré chanson, encore bravo.

Avec nos bambins qui font encore pipi dans la barboteuse, qui ont les dents plus longues que les loups, qui ont envoyé un retentissant message, qui ont gueulé présents du haut de leur orgueil, avec eux le printemps est en avance et des beaux jours s’annoncent.

Lorsque l’on sait que vont se joindre à nos légions une ribambelle de joueurs chevronnés, nous pouvons ouvrir la porte à nos espoirs qui faisaient le va et vient entre le doute et les questions que se posaient bien de gens.

Deux matchs à la maison, maintenant nous sommes sûrs, la série sera belle et qui oserait prétendre le contraire, un jaloux, un marchant de torchons ?

Samedi souvenez-vous de l’an dernier, il faudra évidemment rendre la monnaie aux Castrais, ils méritent notre respect, alors c’est pour cela qu’il faut les fracasser.

Minots, vingt mille toulonnais vous attendent à Mayol, allez zou, maintenant on peut dire, comme d’habitude !

PS :
Une poignée de mains, une bise, un sourire,
Quelques mots d’amitié bien faciles à écrire,
Entouré des petits et de ta chère Audrey,
De rouge et noir et de passions parées
Surtout ne change rien à la joie qui t’anime,
Manu avec toi c’est le cœur qui s’exprime.