Comme un ouragan !

Un mistral devenu fou, une avalanche de fureur, la horde toulonnaise a envoyé l’adversaire dans la Rade.
Quelle victoire, quel combat, à faire trembler les vieux « choufs » de la Navale, petits vous avez été géants, les supporters rouges et noirs sont déjà assis dans les tribunes lyonnaises.
Nous avons retrouvé notre RCT, celui qui, fidèle à sa légende, nous a apporté tant de fierté et tant de joies, nos joueurs ont su donner ce qu’ils avaient de meilleur et nous savons qu’ils donneront encore, comment ne pas croire à une suite radieuse, à une fin de saison dont nous rêvons tous, je sais que tu le pantailles toi aussi mon collègue.
Honnêtement, sans estoupinades, les béglais vont se prendre le fade, nous sommes bien armés pour porter l’estocade tout en les respectant sans idée de bravade.
Dans Besagne et ses quartiers, de Sète à Avignon, une fièvre joyeuse envahit les maisons, nos minots, ce mot de chez nous qui veut tant dire, ils vont combattre, pour eux, pour nous, ils savent qu’un empire, un pays, une rue est déjà debout pour les acclamer.
Minots on ne vous aime plus, on vous adore !
Samedi soir laisse ta fenêtre ouverte, les cigales, elles ne dormiront pas…
Triste PS : une pensée pour Florence Lacaze qui nous a quitté prématurément cette semaine et qui était une fervente supportrice du RCT.
